Historique

Le DTAMB est un des plateaux techniques de la fédération BioEEnviS (Biodiversité, Eau, Environnement, Ville et Santé). Elle est rattachée à l’université Lyon 1 (UCBL), au sein de l’UFR Biosciences ainsi qu’à l’Institut Ecologie Environnement (INEE) du CNRS. La structure a pris naissance en 1992 sous le nom de CAMB (Centre d’Analyse Moléculaire de le Biodiversité) et était l’une des trois plateformes nationales créées suite au sommet de Rio de Janeiro sur l’environnement et destiné à donner une impulsion moléculaire dans ce domaine.

En 1999, le CAMB est devenu le DTAMB (Développement de Techniques et Analyse Moléculaire de la Biodiversité) en élargissant son champs d’action. Cette évolution s’est principalement traduite par le développement en local de la méthode SAGE (Serial Analysis of Gene Expression), d’un plateau de fabrication de puces à ADN lié à Génopole Rhône Alpes et à la mise en place d’une plateforme de PCR en temps réel.

En 2010, le DTAMB s’est associé en partenariat avec la société de prestation en biologie moléculaire Biofidal, qui était en partie installée dans ses locaux universitaires. Depuis, la majorité des prestations du DTAMB ont été réalisées par cette société, la partie publique de la structure se concentrant sur le développement, les collaborations scientifiques et sur des projets de recherche. Ce partenariat a pris fin en avril 2018.

Les prestations offertes par le DTAMB concernent essentiellement le contrôle qualité des échantillons (qualitatif et quantitatif) et la qPCR digitale. La plateforme dispose également de plusieurs matériels mis à la disposition de la communauté scientifique.

Le développement d’une nouvelle activité de séquençage NGS à été mise en place. La technologie adoptée est celle de Oxford Nanopore autour du MinION. Cette activité n’est pas ouverte à la prestation mais uniquement aux collaborations-recherche.